Les engins de battage
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Les engins de battage
Le principe du battage est simple:le but recherché (pour nous sapeurs! ) est d'enfoncer des pilots à l'aide d'une masse lachée d'une certaine auteur!
Pour se faire il est utilisé en général un outils nommé "sonnette". Sa composition de base est toujours approximativement la même:
La sole, châssis supportant la sonnette,souvent mobile il peut être aussi monté sur embarcation (ou ne pas être utile sur embarcation) il supporte souvent le treuil ou moto-treuil.
Un treuil, utilisé pour lever les pilots ou le mouton
Un mât jumelle, pièce principale dont le rôle est de faciliter la mise en place des pilots, de supporter le "chariots" (ou guide-pilots) permettant de maintenir le pilot en position, et enfin de supporter le mouton.
Le renard, pièce permettant d'accrocher provisoirement le mouton sur le mât afin de soulager le câble.
Le casque de battage, pièce en acier moulé placé entre le mouton et le pilot afin d'éviter de détériorer la tête de ce dernier.
Le mouton ,permet de porter un coup sur la tête du pilot afin de l'enfoncer
Au début des sonnettes, les moutons se nommés: mouton à déclic ou mouton sec, c'était des masses en fonte levée à l'aide d'un chariot à déclic (commandé par un treuil) qui arrivé au sommet du mât était commandé pour lâcher la masse.
Puis avec l'arrivée de la vapeur, le mouton devint une partie fixe (mais descendant en même temps que le pilot) à l’intérieur de laquelle un piston était propulsé vers le haut par de la vapeur qui retombant après évacuation de cette dernière frappait ainsi la base du mouton. Ce choc enfonçait le pilot.
Ce système fut vite remplacé par l'air comprimé pour cause de mise en oeuvre de la vapeur un peu longue!
Puis l'air se vit remplacé par le carburant! et oui les moutons étaient diesels. Le principe étant le même que les moteurs à deux temps sauf que c'était toujours le piston qui frappait!
Sonnette du 17°RG
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Merci à Jacques GRADWOHL pour cette photo!
sole et moto-treuil
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mouton pneumatique de 250kg sur son chariot de transport
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mouton diesel MTP A 3000
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tableau des caractéristiques des moutons
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vue d'ensemble d'une sonnette
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mât jumelle de la sonnette légère monté sur grue Griffet ?
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utilisation d'une bigue de levage pour "dresser" le mât jumelle lors de la mise en oeuvre d'une sonnette sur portière M4
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voila la sonnette est en place le battage commence! (battage dit "latéral")
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Le battage amont sonnette disposée sur la partie centrale en amont du platelage de du pont flottant
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Le battage latéral sonnette disposée à tribord ou bâbord de la partie de pont
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Voila c'était un peu long je m'en excuse!
Pour se faire il est utilisé en général un outils nommé "sonnette". Sa composition de base est toujours approximativement la même:
La sole, châssis supportant la sonnette,souvent mobile il peut être aussi monté sur embarcation (ou ne pas être utile sur embarcation) il supporte souvent le treuil ou moto-treuil.
Un treuil, utilisé pour lever les pilots ou le mouton
Un mât jumelle, pièce principale dont le rôle est de faciliter la mise en place des pilots, de supporter le "chariots" (ou guide-pilots) permettant de maintenir le pilot en position, et enfin de supporter le mouton.
Le renard, pièce permettant d'accrocher provisoirement le mouton sur le mât afin de soulager le câble.
Le casque de battage, pièce en acier moulé placé entre le mouton et le pilot afin d'éviter de détériorer la tête de ce dernier.
Le mouton ,permet de porter un coup sur la tête du pilot afin de l'enfoncer
Au début des sonnettes, les moutons se nommés: mouton à déclic ou mouton sec, c'était des masses en fonte levée à l'aide d'un chariot à déclic (commandé par un treuil) qui arrivé au sommet du mât était commandé pour lâcher la masse.
Puis avec l'arrivée de la vapeur, le mouton devint une partie fixe (mais descendant en même temps que le pilot) à l’intérieur de laquelle un piston était propulsé vers le haut par de la vapeur qui retombant après évacuation de cette dernière frappait ainsi la base du mouton. Ce choc enfonçait le pilot.
Ce système fut vite remplacé par l'air comprimé pour cause de mise en oeuvre de la vapeur un peu longue!
Puis l'air se vit remplacé par le carburant! et oui les moutons étaient diesels. Le principe étant le même que les moteurs à deux temps sauf que c'était toujours le piston qui frappait!
Sonnette du 17°RG
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Merci à Jacques GRADWOHL pour cette photo!
sole et moto-treuil
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voila la sonnette est en place le battage commence! (battage dit "latéral")
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Le battage amont sonnette disposée sur la partie centrale en amont du platelage de du pont flottant
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Voila c'était un peu long je m'en excuse!
Dernière édition par Admin le Sam 8 Oct 2011 - 5:26, édité 2 fois
GRADWOHL Jacques- membre
- Messages : 303
Date d'inscription : 02/11/2010
Age : 69
Localisation : 67300 SCHILTIGHEIM
GRADWOHL Jacques- membre
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Re: Les engins de battage
Afin de compléter les infos, si le sommet du pilot était équipé d'un casque de battage, cylindre métallique de 10 à 30 mm d'épaisseur sur 3 à 10 cm de hauteur selon les pilots, il y avait aussi la frette, pointe en acier pyramidale avec 4 ailes de fixation sur le pilots, taille proportionnelle, tout comme le casque, aux dimensions du pilot. Au 4 RG, jusqu'en 1990, il y avait différentes sortes de sonnettes, Mle 29, 39 avec mouton automoteur 500 kg, lesquelles ont été mises en oeuvre par des générations de stagiaires CT1 et CT2.
Voirin Denis- membre
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Date d'inscription : 29/11/2011
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