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L'Aérostier ALEXANDRE TRICHET va reprendre sa place dans l'histoire

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L'Aérostier ALEXANDRE TRICHET va reprendre sa place dans l'histoire  Empty L'Aérostier ALEXANDRE TRICHET va reprendre sa place dans l'histoire

Message par KRAL DOMINIQUE Mar 11 Fév 2014 - 3:55

bonjour,

j'ai au début de cette rubrique sur l'aérostation narré l'histoire de l'évasion de GAMBETTA à bord du Ballon l'ARMAND BARBES ,piloté par le soldat Aérostier ALEXANDRE TRICHET ,l'événement est commémoré par une stèle sur la Place de la Commune d'EPINEUSE où le ballon a atterri.J'avais dit alors que seuls les noms de SPULLER et GAMBETTA figuraient sur le monument ,j'avais oublié que 2 rues du Village portaient le nom de ces messieurs ,le pauvre TRICHET ayant été oublié lamentablement .
Je suis intervenu auprès du Maire de la Commune,et j'apprends aujourd'hui que l'inscription de TRICHET sur le monument est à l'ordre du jour d'une prochaine réunion et que d'ores et déjà une rue du village va s'appeler RUE TRICHET .
Je posterai la suite de l'histoire .
Il est heureux que enfin justice soit rendue au mérite de l'un des nôtres .

KRAL DOMINIQUE
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L'Aérostier ALEXANDRE TRICHET va reprendre sa place dans l'histoire  Empty Un autre pionier de l'aérostation méconu

Message par pierre du 24 Mer 12 Oct 2016 - 20:28

COMMANDANT HENRI LEGROS premier réunionnais volant
 
On a vite oublié l’odyssée des dirigeables, ces drôles d’engins qui précédèrent les drôles de machines que furent les premiers avions. On a aussi vite oublié les équipages qui les manœuvraient, malgré leurs prouesses et leurs exploits. Pourtant, parmi ces hommes il en fut un qui s’illustra tant en équipage dans son cadre professionnel, que par le fait qu’il était originaire d’outre-mer. Un homme, contemporain de Roland Garros et, comme lui, natif de l’île de la réunion.
Henri Legros naquit le 13 août 1876 à Saint-Leu de la Réunion, exactement au lieu-dit des Colimaçons qu’il décrivit ainsi lui-même « … le coin le plus aride de l’île à 2 km au moins de la ville où se trouvait l’école laïque. Ce vilain coin des colimaçons compte ai moins une demi-douzaine de maisons… ». Son père, Oliva Legros, était un employé de la DDE qui passa plusieurs années à rendre carrossable la vertigineuse route de Cilaos. Son salaire pourtant suffisait tout juste à nourrir les dix enfants qu’il avait eu de quatre épouses dont trois décédèrent prématurément en raison du climat et des maladies. De sa mère, Henri n’a conservé que le souvenir de deux cercueils, un grand et un petit, blanc : sa mère venait de mourir en couches, il avait six ans.
Elève moyen, attiré par la technique et la mécanique, il postulera et sera retenu pour l’école d’apprentissage des arts et métiers de Dellys en Algérie comme boursier de la Réunion. Il avait tout juste seize ans. Après des études ponctuées d’actes de vitalités et d’indisciplines (passion d’explorer les interdits…). Il s’engage à Marseille dans l’Artillerie (6ème Cie d’Ouvriers d’Artillerie) le 6 juillet 1896.
Dans les années cinquante, il a rassemblé ses souvenirs dans un recueil intitulé « cahier bleu », cahier que sa petite fille a eu l’extrême gentillesse de nous communiquer avec d’autres documents et photographies. La lecture de ces pages, écrites à la plume sergent-major est absolument bouleversante. D’abord par leur côté intimiste et personnel, puisqu’elles ont été écrites sous forme d’une lettre à son fils par un « honnête homme » ainsi qu’il se décrit lui-même, observant avec recul le chemin qu’il a parcouru depuis l’école communale de Saint-Leu, jusqu’aux bureaux de l’état-major des Armées ; et de ce point de vue il faut reconnaître que la qualité rédactionnelle est à la hauteur (si on peut dire) de leur hauteur. Émouvante aussi parce que ce récit comporte deux parties, l’une que l’auteur consacre à l’insouciance de sa jeunesse, révélant au passage quelque discrète confidence, et aux grandes satisfactions de sa carrière militaire, l’autre nettement contrastée relate les malheurs ayant accompagné sa vie de retraité : il y décrit en effet avec force détails et émotion le bombardement de la ville du Havre et la destruction complète de sa maison et tout ce qu’elle contenait.
Nous ne nous attarderons ici que sur la partie purement aéronautique de la carrière de ce mécanicien de dirigeable tout ce qu’elle contenait.

Les dirigeables, mieux que les ballons, pas encore des avions
L’histoire et l’évolution des ballons dirigeables en France au début du XXème siècle étant bien connue, recentrons-nous sur l’importance que revêtait l’aérostation pour les états-majors qui avait intégré les nombreux avantages et possibilités opérationnelles de cette composante aérienne. Véritables stations volantes multifonctions, les dirigeables voyaient cependant s’effriter petit à petit leur suprématie aérienne avec l’avènement et l’essor fulgurant de l’aviation née de très fraiche date, en décembre 1903. Une sorte de compétition s’établit entre les deux disciplines de laquelle les dirigeables surent tirer leur épingle pendant quelques années encore, jusqu’à la fin de la première guerre mondiale.
 A bord de leurs énormes machines volantes soumises aux aléas combinés de la météorologie et de la mécanique, des hommes courageux, intrépides mais disciplinés, accomplissaient leurs missions, fiers d’avoir été sélectionnés, sûr de leur utilité sans toutefois cultiver l’idée d’appartenir à un groupe de privilégiés. Malgré la hiérarchie existante et respectée à bord, chaque vol, chaque mission était toute mesure gardée, l’aventure d’un « groupe de copains ». C’est qu’émane des écrits de l’adjudant Henri Legros, mécanicien navigant, relatant certains de ses vols.
 
1909, année de confirmation

Au retour des manœuvres du Bourbonnais, le dirigeable « République » sombre près de Moulins, tuant tous les membres de l’équipage, le capitaine Marchal, le lieutenant Charme, les adjudants mécaniciens Vincenot et Beau.
Le monde l’aérostation est en deuil, la France est sous le choc, des obsèques solennelles auront lieu à Versailles en présence des hautes autorités gouvernementales et militaires. Mais comme toujours, la mission continue, les exercices et les manœuvres reprennent.
Bien que durement affecté par la mort accidentelle de ses deux camarades Vincenot et Beau qu’il aurait du normalement accompagner au cours de ce vol si la composition de l’équipage n’avait été modifiée au dernier moment, l’adjudant Henri Legros se fit un devoir de persévérer pour eux dans la voie qu’ils lui ont ouverte en l’encourageant à intégrer l’aérostation en 1908.

1910, année de prestige
Au retour d’une mission, le « Liberté » qui participait aux manœuvres de Picardie se pose tranquillement à Grandvilliers dans l’Oise au milieu d’une agitation peu commune en ces lieux retirés. Le Président de la République en personne, Armand Fallières, est là. Admiratif, soucieux après l’accident du « République » de montrer son soutien à cette discipline et au personnel navigant, il se dirige vers la nacelle, se fait présenter l’équipage : capitaine Bois, lieutenant Néant, adjudant Legros. Il leur serre à tous trois la main en disant : »vous êtes des braves ». 
De retour à Chalais Meudon à l’issue des manœuvres, le capitaine Bois apprend son inscription au tableau pour la Légion d’honneur, et l’adjudant Legros pour la médaille militaire pour services exceptionnels rendus à l’aéronautique.

1911, année des records
Au cours des essais du dirigeable « Adjudant Beau », du nom du mécanicien tué lors de la catastrophe du « République », l’équipage mi-civil, mi-militaire, était ainsi composé. M. Edouard Surcouf avait pris le commandement de bord, M. Surcouf était un industriel bien connu, fabricant de dirigeables et de hangars ; le pilotage et la stabilité étaient assurés par les chefs pilotes Etienne Mugnier et André Cohen ; le relèvement de la route suivie, la surveillance des instruments, la lecture des cartes, les observations techniques et militaires étaient répartis entre le lieutenant Caussin, représentant le ministre de la Guerre, et le comte de la Valette, ingénieur des Mines. Le chef mécanicien Antoine, l’adjudant mécanicien Legros, le maréchal des logis mécanicien Fontaine, le mécanicien Chéron, avaient la charge de la partie mécanique.
Cette mission a été relatée dans le détail dans la revue l’aérophile d’octobre 1911 ; article paru sous la signature du comte de la Valette. Lâché du terrain d’Issy-les-Moulineaux, le 18 octobre 1911 à 5 heures, le dirigeable reviendra se poser à son point de départ le lendemain vers 2h30 après avoir parcouru 989 km (record du monde de distance en dirigeable pulvérisé) en un vol de 21h et 20 minutes (record du monde de durée de vol en ballon pulvérisé. Le comte de la Valette relate l’arrivée en ces termes :  « … pour la première fois depuis 21 heures 20 minutes 50 secondes, l’allumage est coupé et les moteurs s’arrêtent. Les deux guides-râpes tombent de 150 mètres (il est 2h30). Le ballon se met pointe dans le vent. Il descend doucement à terre. Le lieutenant Leroy commande « les mains sur la nacelle ». A 2h 31 mn 50 s, nous somme redevenus des terriens… »
Au cours de la mission suivante, le 6 décembre 1911, l’« Adjudant Beau » et son équipage, avec l’adjudant mécanicien Legros, atteindront l’altitude de 3000 mètres, nouveau record du monde pour un dirigeable.

Reconnu, mais toujours méconnu malgré les records du monde

Quel destin pour ce sous-officier d’Artillerie sélectionné en 1908 pour servir à sa demande dans l’aérostation. Affecté au 25ème Bat du 1er Rgt du Génie le 1er mai 1908 en qualité de sapeur aérostier et de mécanicien de dirigeable. Il fera véritablement connaissance avec la troisième dimension en effectuant son premier vol d’initiation le 1er août 1908 à Chalais Meudon. Heureux et tellement fier de son baptême dans un plus lourd que l’air, il enverra une carte postale « aéronautique » à son fils Maurice âgé de …3 ans, lequel dira plus tard :"je suis tombé dans l’air avant la maternelle".
Et pourtant, les exploits de ce mécanicien de dirigeables réunionnais aujourd’hui encore demeurent tout juste reconnus de ses pairs et restent méconnus de ses propres concitoyens, lesquels sont pourtant prompts à s’enflammer pour les héros dont ils ont besoin pour être leur porte-drapeau. Comment expliquer autrement que seul Roland Garros figue au Panthéon des Réunionnais volants ? Il est né, certes lui aussi à la Réunion, mais il en est parti à l’âge de quatre ans : il n’effectua son premier vol que fin 1908 et n’obtint son brevet de pilote qu’en juillet 1910, bien après donc que le Président Fallières ait félicité son compatriote Henri Legros. Et pourtant, il a laissé son nom à nombre de monuments, de rues, de bâtiments ou autres sites particuliers jusqu’en métropole et en Amérique du sud.

Henri Legros, lui, a tout juste dans sa ville natale de Saint-leu, une ruelle baptisée à son nom, indiquée par une plaque très ordinaire.

Roland Garros et Henri Legros cousins et frères d’arme, sans le savoir
Sans chercher ici à opposer nos deux héros, il n’en demeure pas moins qu’ils étaient natifs de la Réunion, qu’ils ont eu la même attirance pour « le vol piloté », discipline où ils se sont tous deux illustrés à des degrés divers, qu’ils ont ensemble participé à la première guerre mondiale, et ont l’un comme l’autre apporté leur pierre au développement de l’aéronautique (ce terme n’ayant pas la même acceptation à cette époque), l’un dans l’aérostation, l’autre dans l’aviation.
La reconnaissance et le retombées qu’ils en retireront seront très différentes tant il est vrai que les exploits d’une manière générale apparaissent, aux yeux de ceux qui les jugent, bien plus périlleux lorsqu’ils sont réalisés isolément plutôt qu’en équipage ; et pourtant lorsque Roland Garros effectua en 1913 sa mémorable traversée de la Méditerranée sur son frêle aéroplane, Henri Legros, en équipe il est vrai, avait depuis deux ans homologué trois record mondiaux de distance, de durée, et d’altitude en ballon dirigeable. Autre élément à considérer dans la différence de notoriété qu’ils ont connue : leur personnalité et leur rang social. L’un, issu dune famille aisée, diplômé d’HEC, achetant sur ses propres deniers ses aéroplanes de compétition, était rompu aux finesses de la médiatisation de ses exploits sportifs, qu’ils fussent aériens, cyclistes ou tennistiques. L’autre, sous-officier de carrière tenu au devoir de réserve, se consacrant prioritairement à la réussite des missions, travaillant avec acharnement pour monter en grade, gage pour sa famille de fins de mois meilleures. L’un drapé de l’aura de pilote de chasse ayant « descendu » des avions ennemis, mort lui-même en plein ciel de gloire, l’autre juste récompensé pour l’ensemble des missions de bombardement (à la main !) au-dessus des lignes ennemis. 

Un aparté généalogique
Pour l’anecdote, et pour expliquer l’amorce de parallèle entre nos deux héros : il est clair que Roland Garros et Henri Legros bien que tous deux nés à la Réunion, ne se connaissait pas et n’ont même jamais eu l’occasion de se rencontrer sur un terrain d’aviation. Et pourtant ils étaient cousins ! C’est que révèle une recherche généalogique qui les relie deux siècles plus tôt à un ancêtre commun : Joachim Mussard, natif d’Aubervilliers, arrivé à la Réunion vers 1669. Ce vénérable grand aïeul eut un fils, François, lequel eût deux enfants : Henri Mussard (1676-1743), point de départ de la lignée des Legros, et Marie-Anne Mussard épouse Gonnaud (1681-1714), à l’origine de la lignée des Garros. Il faut bien dire que tous les natifs de la Réunion pendant cette période de peuplement des comptoirs de la Compagnie des Indes, étaient de plus ou moins proches cousins… mais ces deux-là au moins appartiennent-ils pour toujours à la « grande famille » de l’aéronautique.

Une fin de carrière « kiss landing » (atterrissage en douceur)
Pour en revenir à notre prestigieux aéronaute, après la série d’exploits de l’année 1911, pour l’adjudant Legros, chef mécanicien, les missions aériennes se poursuivent à la guerre comme en temps de paix. Il obtiendra suite aux missions de bombardement au-dessus des zones de concentration de l’ennemi en Allemagne deux citations et la Croix de guerre. Cependant, malgré l’existence pourtant pérennisée de l’aérostation militaire, le statut des personnels n’était pas tout à fait établi ; ainsi, les mécaniciens d’équipage appartenaient à l’arme du génie et ne pouvaient pas exercer leur spécialité en tant qu’officiers. C’est pourquoi, promu officier le 22 février 1915, le sous-lieutenant Henri Legros dut démissionner du corps du personnel navigant. Il fut versé dans un corps administratif et technique sans pour autant s’éloigner de ses chers ballons puisqu’il en assurera la gestion et l’entretien, notamment celui des treuils pour ballons captifs au Parc Aéro n°10, puis effectuera le contrôle de ces matériels à Inspection du Matériel Technique et des Installations de l’Aéronautique.
Titulaire du brevet de mécanicien de dirigeable n°3 en date du 16 octobre 1911 (régularisation tardive !) et ayant effectué 162 ascensions, il terminera sa carrière avec le grade de commandant et fut à ce titre le premier et le seul commandant mécanicien de l’armée de l’Air pendant deux ans. Nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1919, il sera promu officier dans cet ordre le 14 juillet 1933. En 1939, dégagé de toute obligation militaire, il reprend volontairement du service et sert jusqu’à l’Armistice à la Direction du matériel aérien militaire. Enfin, ultime marque d’estime qui lui fût rendue trois ans avant sa mort, il recevra la médaille de l’Aéronautique au titre de la promotion de pionniers.

Décédé le 6 août 1961, Henri Legros repose à Villers-Bocage dans le Calvados.
Son fils Maurice, qui était « tombé dans l’air », fera lui aussi carrière dans l’armée de l’Air dans le corps des mécaniciens, terminant au grade de général de brigade aérienne. Il fut admis en 1930 à l’École Militaire d’Application de l’Aéronautique (ancienne appellation de l’École de l’Air créée aux Petites écuries à Versailles avant de rejoindre Salon de Provence), considérant donc qu’il était de la première promotion de l’École de l’Air et né en 1906, le plus ancien de cette promotion, il porta des années durant le titre symbolique de Doyen absolu de l’École de l’Air ; un pionnier lui aussi en quelque sorte ! Au cours d’une tournée d’inspection dans l’Océan Indien, ce général d’aviation inaugura la petite rue qui porte le nom du commandant d’aviation que fut son père.

Perpétuer la mémoire des pionniers de l’aéronautique
Aujourd’hui, des contacts sont entretenus avec la municipalité de Saint-Leu pour, dans un premier temps rehausser l’éclat et la visibilité de la plaque nominative de la rue du « Commandant Henri Legros », l’enfant du pays, mais également pour promouvoir l’idée de réaliser une plaque ou un petit monument dédié aux « aérostiers du record du monde » que représente Henri Legros, ce Réunionnais qu’il serait inconcevable de reléguer dans l’oubli et l’indifférence.

Cité balnéaire également tournée vers les sports aériens avec justement aux Colimaçons, une base de vol libre sous voile (parapente) de renommée internationale ; la ville de saint-Leu a aujourd’hui  rendez-vous avec son passé.

Article de La Cohorte n°202 (novembre 2010)


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Message par KRAL DOMINIQUE Jeu 13 Oct 2016 - 2:31

belles histoires que celle de LEGROS et celle des dirigeables français ,je suis d'accord avec toi ,les aérostiers n'ont pas reçu les honneurs qui leurs revenaient ,contrairement aux as de l'aviation ,peut être que l'histoire va trop vite et les dirigeables pas assez .
cordialement
Dominique

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