le gilet de sauvetage bourré de kapok Musée du Génie

un grand classique que l'on voit à de nombreuses époques sur nombre de franchissement ,il doit remonter à 1900 ,le modèle présenté est de 1939 avec la vareuse qui va bien.Mais lors de la prise de vue j'avais avec moi 2 anciens (pas si anciens que ça ) qui ont eu à porter ce gilet sur la fin des années 60 n'est ce pas BERNARD ???
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Je confirme, ce magnifique et efficace gilet de sauvetage (ne voyez aucune ironie dans mon propos) était en service au 6RG en 1964 et nous le portions en hivers, par dessus la capote lors des séances d'instruction navigation sur le bateau 1901. En tenue de drap, avec brodequin et guêtres US, capote et casque léger, je pense qu'il ne valait mieux ne pas tomber à l'eau!!!!....

Par ailleurs j'ai découvert lors d'une mission en Centrafrique, plus précisément au nord ouest de pays dans la région de Bouar, l'existence de l'arbre à Kapok, dont la fleur ou le fruit donne cette matière que ressemble au coton.

Gilles

Voici 1 photos avec des gilet de sauvetage

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CPIO a écrit:Je confirme, ce magnifique et efficace gilet de sauvetage (ne voyez aucune ironie dans mon propos) était en service au 6RG en 1964 et nous le portions en hivers, par dessus la capote lors des séances d'instruction navigation sur le bateau 1901. En tenue de drap, avec brodequin et guêtres US, capote et casque léger, je pense qu'il ne valait mieux ne pas tomber à l'eau!!!!....
Par ailleurs j'ai découvert lors d'une mission en Centrafrique, plus précisément au nord ouest de pays dans la région de Bouar, l'existence de l'arbre à Kapok, dont la fleur ou le fruit donne cette matière que ressemble au coton.
Gilles

Bonjour,
En 1965, lors de mon séjour à Saint Maixent (EAI - ENSOA), nous avions les mêmes gilets à l"école des ponts" sur la sèvre niortaise.
Par contre, l'hiver, nous préconisions de le porter sous la capote afin de pouvoir se débarrasser "facilement" de ce vêtement en cas de chute à l'eau.
Contrairement au coton hydrophile, dont il a l'aspect, le kapok est hydrophobe.

L'hydrophobie (du grec, hydro = eau, et phóbos = peur) caractérise les surfaces qui repoussent l'eau.

Le kapok, en malais kapuk, est une fibre végétale que l'on tire de fruits de plusieurs arbres de la famille des Bombacaceae.
On utilise plus particulièrement ceux de Ceiba pentandra, le kapokier (aussi appelé « fromager »), un grand arbre des zones tropicales, originaire de Java. Ceux de Bombax ceiba, un autre fromager, peuvent également être employés.
Cette fibre très légère a pour caractéristique son imperméabilité et son imputrescibilité. Elle est constituée par les poils fins et soyeux recouvrant les graines. Elle est en revanche très inflammable, caractéristique qui a causé l'incendie et la perte du paquebot Normandie dont les gilets de sauvetage en kapok ont pris feu par accident.
Le kapok est une fibre végétale, naturelle, très légère, Imperméable et imputrescible.
Cette fibre constituée par les poils fins et soyeux recouvrant les graines de kapokier a la propriété de rester imperméable.
Elle a donc été utilisée pour la fabrication de gilets de sauvetage.
Aujourd’hui, elle est principalement employée comme matériau de remplissage pour rembourrer les matelas, les oreillers et les coussins.
On l’utilise notamment pour fabriquer les zafu, les coussins de méditation zen japonaise.
  Les graines contiennent 25% d’huile, qui est utilisée comme huile de lampe.
Source : Wykipédia

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Source photos :Google