Le Génie d’Extrême-Orient
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pierre du 24
zarko24
sinagot34
Admin
8 participants
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Le Génie d’Extrême-Orient
Un drapeau a été attribué à l'ensemble des Unités du Génie faisant parties du Corps Expéditionnaire Français d’Extrême-Orient, il portait les inscriptions "Génie d’Extrême-Orient"
Il sera confié à la garde successive des bataillons du Génie en Extrême-Orient pendant une durée de 6 mois chacuns.
Il a était remis le 12/01/1952 au Colonel Gazin (commandant le Génie d'Extrême-Orient) par le général Bondis au camps "Géneral Chanson"
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Il sera confié à la garde successive des bataillons du Génie en Extrême-Orient pendant une durée de 6 mois chacuns.
Il a était remis le 12/01/1952 au Colonel Gazin (commandant le Génie d'Extrême-Orient) par le général Bondis au camps "Géneral Chanson"
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Re: Le Génie d’Extrême-Orient
Mon père, qui a fait toute sa carrière dans l'Arme du Génie, était en Indochine entre 1949 et 1951 au sein du 73ème B.G.. En 1950, il se trouvait à Tien Yen, sur la R.C.4 ; j'aimerais savoir quelle(s) compagnie(s) était implantée en ce lieu. Merçi.
zarko24- membre
- Messages : 2
Date d'inscription : 03/12/2015
Age : 71
Localisation : PERIGUEUX (24)
Le Génie d’Extrême-Orient
Bonsoir à tous,
Bonsoir zarko,
Référence :
Le livre d’Ivan CADEAU
Le Génie au Combat
Indochine 1945 – 1956
En vente à la librairie du Musée du Génie à Angers.
Et l’historique du 73° BG de Louis Le Bègue post présent sur ce site que je n'ai pas retrouvé...
Sur le livre d'Ivan Cadeau page 54:
Les régions montagneuses…
Cet environnement est notamment celui que les compagnies du génie du 61° & 73° Bataillons du génie rencontrent entre 1947 et 1950 lors de l’équipement de la route coloniale n° 4 (RC4) de Langson à Cao Bang, le long de la zone frontière.
Je présume donc que votre père, en 1949, était à Tien Yen dans un poste frontière du Tonkin.
Ci-dessous la carte d’Indochine avec une ville Tien Yen au nord de l’Indochine.
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A la lecture de l’historique du 73° BG de Louis Le Bègue il pourrait s’agir de la 2° ou 3° compagnie…
Je ne peux en dire plus désolé.
Bonsoir zarko,
Référence :
Le livre d’Ivan CADEAU
Le Génie au Combat
Indochine 1945 – 1956
En vente à la librairie du Musée du Génie à Angers.
Et l’historique du 73° BG de Louis Le Bègue post présent sur ce site que je n'ai pas retrouvé...
Sur le livre d'Ivan Cadeau page 54:
Les régions montagneuses…
Cet environnement est notamment celui que les compagnies du génie du 61° & 73° Bataillons du génie rencontrent entre 1947 et 1950 lors de l’équipement de la route coloniale n° 4 (RC4) de Langson à Cao Bang, le long de la zone frontière.
Je présume donc que votre père, en 1949, était à Tien Yen dans un poste frontière du Tonkin.
Ci-dessous la carte d’Indochine avec une ville Tien Yen au nord de l’Indochine.
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A la lecture de l’historique du 73° BG de Louis Le Bègue il pourrait s’agir de la 2° ou 3° compagnie…
Je ne peux en dire plus désolé.
sinagot34- membre
- Messages : 202
Date d'inscription : 25/01/2014
Age : 75
Localisation : Vannes
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
Bonjour Sinagot. Merci pour les réponses. Mon père était en extrême-orient de décembre 1949 à octobre 1951. En mars 1950, il était à Tien-Yen car je possède plusieurs photos de cette période et je crois que toute sa campagne s'est déroulée sur la RC 4 ou à proximité. J'ai acheté l'ouvrage "le Génie au combat - Indochine 1945-1956" qui est très intéressant mais peu de renseignements sur le 73ème B.G.J'ai contacté le musée du Génie mais n'ai pu obtenir de réponse.Encore merci pour le travail de recherches
Cordialement.
Zarko
Cordialement.
Zarko
zarko24- membre
- Messages : 2
Date d'inscription : 03/12/2015
Age : 71
Localisation : PERIGUEUX (24)
Le génie en indochine
UN PEU D'HISTOIRE pour rafraichir les mémoires
(Eux aussi sont morts pour la France)
LA CAMPAGNE D'INDOCHINE
La campagne d'Indochine, qui a duré 9 ans, se divise en deux périodes très différentes : la première débutant en 1945 est celle du rétablissement de l'autorité française dans un climat de guérilla ; la seconde qui est la période de guerre est celle qui a suivi la guerre de Corée en 1950.
La première période (1945-1950)
Le corps expéditionnaire français était un corps classique à deux divisions et quelques éléments supplémentaires faisant partie de l'ensemble des forces du Pacifique opposées au Japon.
Le génie comprenait donc deux bataillons divisionnaires (le 61ème et le 71ème), un bataillon de corps d'armée (le 72ème) et une compagnie d'entretien.
Le point d'application de cet ensemble n'était pas fixé quand, le 15 août 1945, la capitulation japonaise remit en cause le fondement de notre entreprise.
Il en résulta que le point d'application fut l'Indochine. Les conditions physiques étaient très dures. Le support logistique était quasi inexistant et la Métropole était distante de 13.000 km.
Le pays offrait des difficultés bien différentes de celles que présentaient les théâtres d'opérations de métropole. Les coupures, en particulier, étaient d'une largeur inusité : la moindre rivière avait la largeur du Rhin ; leurs rives étaient bien souvent très difficiles, le terrain spongieux.
Le climat était très pénible, les précipitations sans communes mesures avec celles de la France.
Les communications terrestres étaient inexistantes entre les deux régions utiles : les deux deltas du Mekong et du Fleuve Rouge, reliés entre eux uniquement par voie maritime. Il en résultait deux théâtres d'opérations distants d'un de l'autre d'un millier de kilomètres.
En 1945, avant de capituler, les japonais avaient détruit tout ce qui subsistait de l'œuvre et surtout de l'autorité française ; ils avaient mis en place à Hanoï un gouvernement de tendance marxiste. La guérilla organisée par Hanoï entravait l'implantation française dans le Sud. Les ponts étaient systématiquement détruits à l'arrivée des troupes françaises; toutes les communications de Saïgon vers le Nord étaient détruites.
Le génie possédait en tout et pour tout 500 mètres de pont. Heureusement, la société Eiffel avait une importante succursale en Indochine et des ateliers efficaces à Saïgon. Les ponts Eiffel devinrent donc rapidement les vrais ponts militaires de l'Indochine. La société Eiffel réalisa fréquemment des chantiers sous protection militaire.
Pour franchir les grandes rivières, le matériel était inexistant. Il fallut mettre rapidement en chantier des bateaux de 20 tonnes pontés et blindés, armées et relativement rapides.
Les effectifs étaient également très insuffisants. Des unités japonaises sous contrôle français rendirent de grands services.
Enfin, le service du génie, chargé de l'infrastructure, fut mis sur pied en mars 1946.
Ainsi, peu à peu, le génie d'Extrême-Orient prenait l'allure d'une arme et d'un théâtre d'opérations.
Les premières opérations sérieuses auxquelles le génie prit une part très active furent la libération du Sud de l'Indochine en janvier février 1946, le dégagement du sud Annam au début de 1947 et l'offensive vers la frontière de Chine en octobre novembre de la même année.
Pour la première d'entre elles, la mission primordiale était de relier Saïgon à Nha Trang via Phan Rang. La route était coupée en maints endroits, les ouvrages, en grande majorité détruits, dont 20 ayant subi de très importants dégâts. Cette opération, qui par la suite servit de modèle, permit le dégagement de cet axe sur plus de 350 Km par le 71ème bataillon. Tout d'abord fut réalisée une couverture aérienne de l'itinéraire à rétablir. Les caractéristiques des ouvrages furent trouvés sur les documents des Ponts et Chaussées. Un convoi fut mis sur pied dans lesquels les matériels prirent place dans l'ordre de leur mise en œuvre. Grâce à cette organisation, Nha Trang fut atteint en une semaine.
Dans l'exécution de l'ensemble de leurs missions, les sapeurs n'eurent pas seulement à surmonter les difficultés techniques, mais ils eurent aussi à encaisser les contrecoups sévères des réactions ennemies et à participer aux combats.
Après les opérations, le génie tenait toujours un rôle primordial de reconstruction solide et durable et d'entretien des voies de communication souvent détériorées par les actions de l'ennemi.
La seconde période (1950-1954)
En 1950, se produisirent des changements profonds. L'armée VietMinh se forme rapidement suite à la défaite de Chang Kai Chek. Il faut alors employer le char et l'avion. Un problème stratégique est né, défini par le maréchal de Lattre " Le Tonkin est le front principal ".
L'ensemble des forces y est alors concentré. Les difficultés sont énormes ; combat et travail vont de pair. Sur le plan technique, on combine le système fortifié et l'emploi des forces aéroterrestres pour la réussite desquels trois point étaient essentiels, fortifications, routes, infrastructure. Le génie contribue grandement au succès de l'opération pour la mise à l'abri des troupes, la fortification de la grande base d'Haïphong, la construction de routes et aérodromes, la production et le transport de matériaux divers.
Avec le général de Lattre de Tassigny en 1950, les opérations se multiplient au Tonkin. Sections et quelquefois compagnies vont alterner entre chantiers d'infrastructure - souvent en zone non contrôlée - participation à une suite d'opérations ininterrompues et organisation défensive de plusieurs points d'appui importants. Au Cambodge et au Laos, les missions du génie furent également nombreuses, parfois importantes.
Pendant toute cette période, de 1950 à 1954, le génie parvint en faisant preuve d'imagination, de compétence et d'acharnement, à s'adapter à des conditions de guerre, de climat et de terrain d'une grande variété et auxquelles il n'était pas préparé.
A cette adresse, le post de Le Begue :
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(Eux aussi sont morts pour la France)
LA CAMPAGNE D'INDOCHINE
La campagne d'Indochine, qui a duré 9 ans, se divise en deux périodes très différentes : la première débutant en 1945 est celle du rétablissement de l'autorité française dans un climat de guérilla ; la seconde qui est la période de guerre est celle qui a suivi la guerre de Corée en 1950.
La première période (1945-1950)
Le corps expéditionnaire français était un corps classique à deux divisions et quelques éléments supplémentaires faisant partie de l'ensemble des forces du Pacifique opposées au Japon.
Le génie comprenait donc deux bataillons divisionnaires (le 61ème et le 71ème), un bataillon de corps d'armée (le 72ème) et une compagnie d'entretien.
Le point d'application de cet ensemble n'était pas fixé quand, le 15 août 1945, la capitulation japonaise remit en cause le fondement de notre entreprise.
Il en résulta que le point d'application fut l'Indochine. Les conditions physiques étaient très dures. Le support logistique était quasi inexistant et la Métropole était distante de 13.000 km.
Le pays offrait des difficultés bien différentes de celles que présentaient les théâtres d'opérations de métropole. Les coupures, en particulier, étaient d'une largeur inusité : la moindre rivière avait la largeur du Rhin ; leurs rives étaient bien souvent très difficiles, le terrain spongieux.
Le climat était très pénible, les précipitations sans communes mesures avec celles de la France.
Les communications terrestres étaient inexistantes entre les deux régions utiles : les deux deltas du Mekong et du Fleuve Rouge, reliés entre eux uniquement par voie maritime. Il en résultait deux théâtres d'opérations distants d'un de l'autre d'un millier de kilomètres.
En 1945, avant de capituler, les japonais avaient détruit tout ce qui subsistait de l'œuvre et surtout de l'autorité française ; ils avaient mis en place à Hanoï un gouvernement de tendance marxiste. La guérilla organisée par Hanoï entravait l'implantation française dans le Sud. Les ponts étaient systématiquement détruits à l'arrivée des troupes françaises; toutes les communications de Saïgon vers le Nord étaient détruites.
Le génie possédait en tout et pour tout 500 mètres de pont. Heureusement, la société Eiffel avait une importante succursale en Indochine et des ateliers efficaces à Saïgon. Les ponts Eiffel devinrent donc rapidement les vrais ponts militaires de l'Indochine. La société Eiffel réalisa fréquemment des chantiers sous protection militaire.
Pour franchir les grandes rivières, le matériel était inexistant. Il fallut mettre rapidement en chantier des bateaux de 20 tonnes pontés et blindés, armées et relativement rapides.
Les effectifs étaient également très insuffisants. Des unités japonaises sous contrôle français rendirent de grands services.
Enfin, le service du génie, chargé de l'infrastructure, fut mis sur pied en mars 1946.
Ainsi, peu à peu, le génie d'Extrême-Orient prenait l'allure d'une arme et d'un théâtre d'opérations.
Les premières opérations sérieuses auxquelles le génie prit une part très active furent la libération du Sud de l'Indochine en janvier février 1946, le dégagement du sud Annam au début de 1947 et l'offensive vers la frontière de Chine en octobre novembre de la même année.
Pour la première d'entre elles, la mission primordiale était de relier Saïgon à Nha Trang via Phan Rang. La route était coupée en maints endroits, les ouvrages, en grande majorité détruits, dont 20 ayant subi de très importants dégâts. Cette opération, qui par la suite servit de modèle, permit le dégagement de cet axe sur plus de 350 Km par le 71ème bataillon. Tout d'abord fut réalisée une couverture aérienne de l'itinéraire à rétablir. Les caractéristiques des ouvrages furent trouvés sur les documents des Ponts et Chaussées. Un convoi fut mis sur pied dans lesquels les matériels prirent place dans l'ordre de leur mise en œuvre. Grâce à cette organisation, Nha Trang fut atteint en une semaine.
Dans l'exécution de l'ensemble de leurs missions, les sapeurs n'eurent pas seulement à surmonter les difficultés techniques, mais ils eurent aussi à encaisser les contrecoups sévères des réactions ennemies et à participer aux combats.
Après les opérations, le génie tenait toujours un rôle primordial de reconstruction solide et durable et d'entretien des voies de communication souvent détériorées par les actions de l'ennemi.
La seconde période (1950-1954)
En 1950, se produisirent des changements profonds. L'armée VietMinh se forme rapidement suite à la défaite de Chang Kai Chek. Il faut alors employer le char et l'avion. Un problème stratégique est né, défini par le maréchal de Lattre " Le Tonkin est le front principal ".
L'ensemble des forces y est alors concentré. Les difficultés sont énormes ; combat et travail vont de pair. Sur le plan technique, on combine le système fortifié et l'emploi des forces aéroterrestres pour la réussite desquels trois point étaient essentiels, fortifications, routes, infrastructure. Le génie contribue grandement au succès de l'opération pour la mise à l'abri des troupes, la fortification de la grande base d'Haïphong, la construction de routes et aérodromes, la production et le transport de matériaux divers.
Avec le général de Lattre de Tassigny en 1950, les opérations se multiplient au Tonkin. Sections et quelquefois compagnies vont alterner entre chantiers d'infrastructure - souvent en zone non contrôlée - participation à une suite d'opérations ininterrompues et organisation défensive de plusieurs points d'appui importants. Au Cambodge et au Laos, les missions du génie furent également nombreuses, parfois importantes.
Pendant toute cette période, de 1950 à 1954, le génie parvint en faisant preuve d'imagination, de compétence et d'acharnement, à s'adapter à des conditions de guerre, de climat et de terrain d'une grande variété et auxquelles il n'était pas préparé.
A cette adresse, le post de Le Begue :
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73° Bataillon du Génie
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] Le Begue le Dim 2 Jan - 7:50
pierre du 24- membre
- Messages : 57
Date d'inscription : 17/07/2016
Age : 80
Localisation : Périgord pourpre
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
Bonjour , voici quelques photos de la compagnie du génie du Tonkin datant de 1938 , mes parents étaient en Indochine de 1937 à 1946 .
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Cadre européen de la compagnie du génie du Tonkin 07/05/1938
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le théatre de HANOI 1938
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reproduction de la gare de macham exécuter par les sapeurs du chemin de fer de la cie. du génie HANOI / TONKIN 07/05/1938
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Distribution de tissu pour les enfants des sapeurs de la cie du génie en 1938
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Cadre européen de la compagnie du génie du Tonkin 07/05/1938
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le théatre de HANOI 1938
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Distribution de tissu pour les enfants des sapeurs de la cie du génie en 1938
GUIHENEUF jean paul- membre
- Messages : 212
Date d'inscription : 24/11/2010
Age : 77
Localisation : METZ FRANCE
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
bonjour ,
Sacrebleu ,tes photo Jean-Paul elles sont sacrément collectors ,je pense ,il ne doit pas rester beaucoup de témoignages de ce passé.
cordialement
Dominique
Sacrebleu ,tes photo Jean-Paul elles sont sacrément collectors ,je pense ,il ne doit pas rester beaucoup de témoignages de ce passé.
cordialement
Dominique
KRAL DOMINIQUE- membre
- Messages : 1187
Date d'inscription : 28/07/2012
Age : 63
Localisation : ESTREES ST DENIS OISE
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
KRAL DOMINIQUE a écrit:bonjour ,
Sacrebleu ,tes photo Jean-Paul elles sont sacrément collectors ,je pense ,il ne doit pas rester beaucoup de témoignages de ce passé.
cordialement
Dominique
Oui tu as raison , en plus ,sur la première photo , le sergent ( le troisième debout à partir de gauche ) , c'est mon père , qui fut ainsi que ma mère et mon frère ainé prisonniers des japonais et libérés juste après les bombardements de Nagasaki en 1945 et rapatriés en France à l'été 1946 sur un bateau hôpital anglais ( je crois qu'il s'appelait l'ANAMAPOURMA ).
JEAN-PAUL
GUIHENEUF jean paul- membre
- Messages : 212
Date d'inscription : 24/11/2010
Age : 77
Localisation : METZ FRANCE
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
Jean Paul
Quel passé passionnant, peut être que tu as d'autres choses intéressantes à porter à notre connaissance.
Bien cordialement
Gilles
Quel passé passionnant, peut être que tu as d'autres choses intéressantes à porter à notre connaissance.
Bien cordialement
Gilles
_________________
Gilles CAMPILLO - CPIO : 1964: 6 RG - 1965: ENSOA + EAG - 1966: 33 RG/FMR/GCFR Pilote du Rhin - 1973: Ecole de Plongée Armée de Terre - 1976: 33, puis 32 RG Chef d'équipe SAF - 1981: 1 RPIMa - 1986: Coëtquidan Cdt de la CI - 1990 Fin de service actif.[b]
CPIO- modérateur
- Messages : 450
Date d'inscription : 02/03/2011
Age : 78
Localisation : CARANTEC 29
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
Merci Jean-Paul, effectivement ces photo et l'histoire sont très intéressantes.
Re: Le Génie d’Extrême-Orient
bonjour a tous
effectivement ces photos sont superbe, et ce que dont mon père me parlait, c'était une époque ou l'armée française était bien vu malgré quelques heurts (1930/35). Le génie en Indochine a construit des infrastructures mais très peu de photos de ces travaux, si quelqu'un en a proposer, se serait formidable
cordialement
effectivement ces photos sont superbe, et ce que dont mon père me parlait, c'était une époque ou l'armée française était bien vu malgré quelques heurts (1930/35). Le génie en Indochine a construit des infrastructures mais très peu de photos de ces travaux, si quelqu'un en a proposer, se serait formidable
cordialement
francois32- membre
- Messages : 31
Date d'inscription : 16/09/2013
Age : 70
Localisation : mourmelon le grand
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