LES PROMOTIONS ESOA GÉNIE

Les insignes de promotions ESOA ne virent le jour qu'en 1983, voici les insignes et les historiques de ces promotions (historiques provenant du Musée du Génie)

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1) Sergent-chef DAVID  promotion 1983/84
Détaché à la FINUL, le sergent-chef DAVID du 17°RGP est mortellement blessé le 29 juin 1982 en neutralisant une bombe à fragmentation.
Homologué G 3152 le 20/02/1984

2) Major SOTHIER promotion 1984 (c'est la mienne )
Le major SOTHIER, président des sous-officiers du 4°RG, décédé en service commandé le 21 juillet 1980 dans un accident aérien (Crash d'un Broussard).
Homologué G 3201 le 06/08/1984

3) Sergent RICHIER promotion 1984/85
Le sergent RICHIER du 73° BG est tué à l'ennemi à Chocat (Indochine) le 21 juillet 1949
Homologué G3270 le 14/03/1985

4) Sergent LEGROS 1985
Appartenant au 17°RGP, il décède à Beyrouth le 6 juillet 1983 dans l'écroulement d'un immeuble.
Homologué 3268 le 14/03/1985

5) Major DUBOIS promotion 1985/86
Engagé en 1952, il sert en Algérie de 1956 à 1959 et y est cité deux fois; Après avoir été affecté au 15 puis au 45°BGA en métropole et en Algérie, il sert au Commandement du Génie du 2°CA et rejoint l'EAG en 1982. Il décède en service le 4 juin 1985.
non homologué

6) Sergent-chef LOEVENBRUCK promotion 1986/87
Après avoir servi en Indochine, il est affecté au 77°BG en Algérie. Il est mortellement blessé le 11 octobre 1956 au cours d'un accrochage avec les rebelles.
Homologué G3402 le 11/02/1987

7) Adjudant-chef LEBRUN promotion 1987/88
Engagé en 1965, l'adjudant-chef LEBRUN sert dans plusieurs régiments avant d'être affecté au 71°RG. En 1986 détaché au 420°DSL  au sud-Liban comme spécialiste NEDEX, il est mortellement blessé par un tir ennemi alors qu'il prépare la destruction d'un engin explosif.
Homologué G3485 le 25/01/1988

08) Sergent-chef PANIC promotion 1988/89
Engagé en 1976 dans la légion étrangère, le sergent-chef PANIC rejoint le 6°REG en 1987. Le 14 janvier 1988, alors qu'il effectue une ouverture de route dans le cadre de l'opération "Epervier" au Tchad son véhicule saute sur une mine. Il décède peu après de ses blessures.
Homologué G3537 le 09/09/1988

9) Sergent BONNIN 1989/1990
Sous-officier à la 17° Compagnie du Génie Parachutiste, il saute le 20 novembre 1953 sur Dien bien Phu  pendant l'opération "Castor". Accroché en arrivant au sol, il est mortellement blessé en protégeant le repli de sa section.
Homologué G3633 le 20/06/1989

10) Sergent FALCONETTI promotion 1990/91
Tout d'abord FFI, il participe à la libération de la Corse en 1943. Après un passage dans l'Armée de l'Air, il rengage dans le génie; Il effectue deux séjours en Indochine et se porte volontaire pour la Corée. Le 25 octobre 1951, à la tête de son groupe, il est mortellement blessé par des tirs de mortier sur la colline "Crève cœur" cote 931.
Homologué G3743 le 29/10/1990

11) Adjudant-chef MEDJABA promotion 1991/92
Sous-officier au 17°RGP, l'adjudant-chef MEDJABA participe avec son unité à de nombreuses missions outre-mer. Détaché en Irak dans le cadre de l'opération "Libage", il est mortellement blessé au ours d'une opération de déminage le 24 mai 1991.
Homologué G3864 le 12/12/1991

12) Sergent NAUDE promotion 1992/93
Engagé volontaire en 1978, NAUDE rejoint le 17°RGP ou il est nommé sergent en 1983. En 1985, il est muté à l'escadron de sécurité civile de Corte (futur UIISC5), le 29 août 1989, il meurt en service commandé dans un feu de forêt dans la région de Saint-Florent en Corse.
Homologué G3988 le 26/11/1992

13) Major DUQUENOY promotion 1993/94
Engagé en 1949, il sert à deux reprises en Indochine où il sera cité, puis dans plusieurs unités du génie, y compris en Algérie. Après deux séjours en Guyane, il est affecté au 4°RG. Le 21 juillet 1980, il décède dans un accident d'avion.
Homologué G4116 le 21/01/1994

Bonjour à tous,
Bonjour François,

Le musée du Génie est incapable de quoi que ce fût. Ce qui est proposé ici est tiré des travaux du Major Jacques DUPIRE, entre-autre de son second volume sur les insignes et de mon bouquin.

Et ce qui me fait dire cela, c'est que le musée ne fait pas la différence entre les promotion ENSOA et ESOA.   

Loin de moi l'idée de raviver une inutile guerre des boutons, mais on ne peut pas confondre les deux Écoles.

Pour les accros d'insignes métalliques : pour l'ENSOA, c'est le glaive. Pour l'EAG, c'est l'épée.

Cordialement,
Bernard.

Bonjour Bernard,

L'ensemble des insignes que j'ai réunis de ce post sont effectivement des insignes ESOA. Pour les textes, il est possible que le musée ait demandé au Major DUPIRE de participer (vu que dans le musée il me semble que sur plusieurs documents, son nom est cité).
Dans la vitrine au musée il n'y a pas d'insigne de l'ENSOA, sur ce coup là le musée n'y est pour rien et je ne vois pas ou dans mon message apparaît un insigne ENSOA?
Le musée a évolué depuis les débuts que tu as connus, l'équipe ne semble pas être la même le Colonel FOREST semble s'investir beaucoup dans son fonctionnement. Certes je regrette le manque de place qui aurait pu permettre l'exposition d'engins (qui pourrissent dans un hangar) mais le bureau culture d'Armes et l'assos du musée sont deux entités différents qui semblent ne pas s'entendre au mieux. peut être me trompje?

Bonjour à tous,
Bonjour François,

Le Begue a écrit:Et ce qui me fait dire cela, c'est que le musée ne fait pas la différence entre les promotion ENSOA et ESOA.  

Je comprends que mon humour à deux balles t'interpelle...
C'était un petit coup de gueule pour les 170° (Adc Aublanc) et 190° (Sch Sako) de l'ENSOA qui ne figurent pas au tableau.
Les sous-officiers issus de l'ENSOA sont-ils moins brillant ? C'était l'idée sous-jacente maladroitement suggérée  , je le reconnais bien volontiers !
Quant au glaive, il apparaît à partir de la Promotion LOEVENBRUCK, en même temps que les homologations par le S.H.A.T.

Les homologations précédentes (insignes des quatre premières promo) relèvent sans doute de la D.C.G, qui n'a pas différencié l'épée pour les promos officiers, du glaive pour les promos sous-officiers.

Voilà. Et comme le Musée nous habitue aux textes partiels... D'où ma ire. Qui s'est aussitôt dissipée, n'aie crainte !

Amitiés,
Bernard.

il est normal qu'elles ne figurent pas puisque j'ai fait le choix de ne mettre que les promos ESOA qui correspondent plus au forum. Et je pense que les sous off issus de l'ENSOA sont effectivement moins brillant
Au passage il me semble que d'autres promos ENSOA  avaient un parrain Génie.
peut être la 262 Adc DUCRET ; 273 Sgt DUMONT

J'ai récupéré lors de la remise de galons de ma fille il y a 3 semaines un petit livre sur le cinquantenaire où se trouve tous les insignes de promos ENSOA, mais il est difficile de connaitre l'historique des parrains à moins de chercher sur le net peut être.

bonsoir les sapeurs quelque soit école d'origine,bon j'ai du mal à capter ENSOA ,ok en plus on trouve partout des explications,mais ESOA ,le sigle signifie-til école des sous-officiers de l'armeée ,sorte de tronc commun quelque soit l'arme ?En plus je vois dans les insignes la promo 89/89 sergent BONNIN ? donc quelqu'un peut il éclairer ma lanterne ? Le modeste sapeur de 2 ème classe est paumé .
Par avance merci

Dominique, les ESOA étaient les Élèves Sous Officiers d'Active qui étaient formés en Ecole d'Armes pour le Génie, Angers, ils s'engageaient directement au titre d'une arme. Les ESOA et les sergent issus de l'ENSOA ayant choisis le Génie se retrouvaient pour effectuer leur formation technique spécifique au Génie (le Certificat Technique du 1° degré) après les 9 mois de formation de sous officiers. Maintenant il n'existe plus que l'ENSOA.
Mais je préfère avoir été élevé au grain plutôt qu'en batterie à l'usine! ( je deviens lourd?)

ben c'est bien de voir parfois QUIRI faire le clown ,(elle est bien lourde celle là) ça désacralise son rôle d'admi censeur et lui donne un visage un peu plus humain.Merci cependant pour l'explication Mr le poulet de grain  pur génie .

Je mets un coup de fusil à notre administrateur: tu parles d'élevage en batterie sans savoir de quoi il en est. St Maixent est devenu une usine sans doute mais depuis le moment où les écoles d'arme ont cessées de former leurs sergents car je peux te dire qu'avant cela, ce n'était pas du tout le cas.
Je suis de la 45° promo ENSOA SCH Jumel et j'ai suivis le cursus de formation après avoir effectué 6 mois de formation initiale, sortis major BMPE FRCHT avec 17 de moyenne, admis à St Maix car 16 du NG (en ce temps là il fallait avoir au moins 15 et ce n'est pas les bacheliers qui y entrent maintenant qui ont tous cette note du reste il n'y a plus de NG à présent et tout le monde il est gentil) Sache mon bon François qu'à mon époque, lorsque je suis revenu au 4 avec mon galon de sergent, j'ai passé mon CT1 avec une bande de branleurs d'ESOA qui ne savaient même pas enfiler un crayon (planter un piquet US) qui n'avaient de militaires que l'uniforme et son esprit fantoche, qui n'étaient pas encore spécialisés comme nous l'étions en sortant de l'ENSOA. Cette école forme des militaires et non des spécialistes, j'ai eu la chance d'être les deux et cela m'a valu d'être ADC à 14 ans de service. On ne signe pas pour être un spécialiste, on entre dans l'institution pour être un soldat et St Maix, c'est le top. Elevé au grain, pas à l'ivraie EAG. J'ai été instructeur Franchissement durant deux périodes, de 1972 à 1979 puis 1983 à 1990 (coucou François) et je suis à même de dire que la formation St Maix: c'est autre chose. A l'ESAG on chope des ampoules en appuyant sur les boutons des rétroprojecteurs et en tournant les pages des aides mémoires non pas effectuant un blondin ou de l'OT. Même constat en 1991 alors que j'étais officier adjoint à la 34/22 où j'ai vu arriver des jeunes ESOA EAG sergents chefs EAF ou PAA infoutus de conduite leur engin et même d'effectuer un entretien de 10 h. Idem lorsque j'étais CDU 5 ans plus tard. Il est vrai que le CIG4 avait disparu en 1990 et que l'ESAG avait soit disant repris la mission. A l'EAG, où veux-tu apprendre à conduire ou à naviguer ou même te servir d'une pompe à graisse? il n'y a plus de moyens ni de vrais spécialistes, pas d'anneau ou de circuit pour rouler, c'est pas sur la Maine que l'on apprend à naviguer et la pompe à graisse est un objet tabou à l'EAG depuis des lustres. Et j'ai terminé chef BML à l'ESAG et pu voir comment étaient instruits nos jeunes sous-officier et la guerre des grands génies... désolant.
Pour répondre aussi sur le sujet St Maix: il existe des Hors série de 1 à 4 qui relatent les 286 promos, avec photos insignes, CV parrain, major de promotion et il y a bien des parrains sapeurs comme mon regretté camarade adc AUBLANC de la 42° promo ENSOA, Sgt Hiervoil 72 BG 7 ° promo, SCH Griboux 41° RST ( sapeurs télégraphistes) 14 ° promo, Bobillot bien sûr 17°promo, ADJ Gavriloff Cie Génie 25 ° DP 29 °promo, ADJ Baudry 34°promo, SGT Puigségur 47° promo et les nombreux autres que vous découvrirez en feuilletant les 4 hors séries que proposent : chevron-musée@wanadoo.fr ou [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] C'est à 12€ les 3 premiers et 20 le n°4.
Les pendules sont à l'heure et la colère a passée...et j'aime toujours la douceur angevine.
A bientôt François

Woaaa, le coup de carabine !
Vous l'aurez compris, mes réflexions étaient teintées d'humour. Mais pour être plus sérieux, je pense (du moins à mon époque) que les ESOA n'étaient pas à la rue au niveau combat (loin de là) et que le petit nombre permettait aussi de faire des choses qui ne se faisaient pas à l'ENSOA (ex chef de groupe CEC Mont Louis, mais pas pour toutes les promos) et nous respections aussi le programme avec connaissance et mise en oeuvre des mines et explos français, ce qui n'était pas le cas de mes camarades issu de l'ENSOA. J'ai d'ailleurs été surpris que ma fille n'ait fait que la mise en oeuvre d'un pétard, et n'ait rien vu du reste alors que c'était bien dans son programme de Saint maix.
Mais pour être objectif, les deux écoles , au final, formaient correctement ses s/off, la seul chose qui éduque et instruit correctement (qui reste valable en unité) , c'est la valeur des homme chargés de la formation et de l'encadrement.

Bonjour,

wahoo ,j'avais fait un commentaire car je percevais la discussion plus comme une comparaison dans le temps de l'évolution des formations,que comme un conflit de chapelle.
Donc je suis tombé comme un cheveu sur la soupe .Donc j'ai supprimé mon commentaire.
L'admi peut supprimer ce post qui ne sert à rien.

Bonjour à tous.

À l’EAG, la rivalité entre les divisions SOE et ESOA, était voulue par le commandement, afin de renforcer l’esprit de corps. C’est un truc vieux comme le monde.
Ce que je peux dire, par contre, c’est qu’au treizième mandat, à Naqoura, sur la porte de ma baraque, était inscrits les noms de mes prédécesseurs. La moitié était des gars de ma promo. Je ne me souviens pas de tous, mais il y avait Nono Vaillant et Tony Albaladéjo.
So long.

Bonsoir à tous,
Pour ma part, trop con pour fréquenter ces prestigieuses ecoles,je me suis contenté de former les sous -officiers au CIG 6. La différence entre les deux écoles était flagrante. L 'ENSOA tenait le haut du pavé. Moins con, j 'ai eu le droit de devenir instructeur à St-Maix. J 'ai compris pourquoi les élèves de l 'ENSOA tenaient la route !
Petit détail qui tue : on retrouve plus d 'anciens de St -Maix chez les dolos que d 'ESOA...
Ceci dit en toute cordialité !

Amitié,
Bernard.

et oui c'est toujours les meilleurs et les moins nombreux qui partent! 

bon, je ne sais pas si il faut que je ferme ce sujet ? il est évident  qu'il y a des cons et des bons partout, aussi bien chez les élèves que chez les instructeurs.
La guerre a était soigneusement entretenue de génération en génération dans chaque camp et semble toujours d'actualité. Au début des posts je rigolais, et j"ai mis ces insignes, car il me semblait logique de créer ce post vu que c'est effectivement en rapport direct avec le Génie. Mais je ne souhaitais pas commencer un sujet sur les promos de l'ENSOA qui touche toutes les Armes (ici nous ne parlons que Génie). Mais nous pourrions parler des parrains "génie" des promos de l'ENSOA.

Pour conclure et si tu as bonne mémoire: une tirade que je notais régulièrement au tableau: l'efficacité n'est qu'une question d'organisation, la valeur, elle, est une question d'homme. Cela doit te rappeler des petits souvenirs mémorables....

A savoir: les majors Sothier et Duquesnoy sont décédés le même jour dans le même accident d'avion qui a coûté aussi la vie à un adjudant également du 4 RG mais ce dernier n'a jamais été parrain d'une quelconque promotion. Cela s'est passé au cours d'une journée portes ouvertes à la base aérienne d'AMBERIEU. Service commandé pour major Sothier et pas pour les autres, bizarre. Mais il faut avoir été à cette journée pour savoir l'exacte vérité. J'ai bien connu ces trois figures du 4 RG.
Le texte accompagnant la désignation de promo me semble un peu léger surtout pour le major SOTHIER qui avait effectué tout de même une belle carrière, preuve en était son prestigieux placard (de médailles) le plus chargé du régiment, même les quelques anciens du 17 ne l'avaient pas.
Pour en revenir aux promos sapeurs ENSOA, j'en ai cité quelques unes précédemment mais après il y en a peu proportionnellement aux autres armes. A découvrir sur les hors série proposés par l'ENSOA dont vous avez à présent l'adresse

bonjour tout le monde ,
dans tout ce qui précède en terme de discussion ,je dirai de chipotage ,il n'y a qu'un propos qu'il nous faut retenir
je cite DENIS " la valeur est une question d'homme "
donc quelque fut le centre formateur,qu'il fut bon ou moyen,des homme en sont sortis plus ou moins bien formés ,les moins bien formés furent ils tous moins valeureux ???? et dans les mieux formés n'y eu-t-il pas des tanches ???
Un manque de formation se rattrape ,un manque de valeur est un gouffre que l'on peut à jamais combler .
D'autre part la qualité d'une formation vient aussi de celui qui forme .
Voilà ce que j'en pense .Alors pourquoi perdre son temps en vaines querelles de chapelle ,qui nuisent (vu le ton) à la sérénité du Forum ?????

Bonjour à tous,
Bonjour François,
Bonjour Dominique,

Pour une fois qu'on se défoule la rate dans la bonne humeur
Une bonne bataille de polochon, rien de tel pour se dérider le diaphragme  
ET nous ne sommes jamais comme ceci  
mais plutôt comme cela

Allez, bon dimanche à tous.

Amitiés,
Bernard.

Ok pour une bataille de polochons mais on enlève les casques lourds des TMT
Amitiés

 Ouf!!! j'ai la chance d'être du côté de Denis (pour la bataille de polochon...)  

tu n es pas le seul le risque c etait la giroflée a 5 petales lol
ca fait du bien ces petits combats de clocher
au 6rg à l epoque nous en avons vu de belle n est ce pas daniel
 

c'est bien ce que je disais! vous êtes plus nombreux   

Outre la giroflée à 5 pétales, il y avait aussi les cinq kilos de barbaque non désossée, ou le coup de casquette en peau de locomotive....
Y'en a qui s'en rappelle....ah, pédagogie, quand tu nous tiens (par les c...)
Je deviens obscène mais c'est quelques souvenirs en commun avec Daniel, Rolland et François..

Bonjour,

Je ne veux pas "envenimer" le débat.... , mais je vous joins, pour le "visuel"  les insignes de promo ENSOA ayant un parrain "Génie"

170° Promotion  - Adjudant-Chef AUBLANC - Homologué G.4503 - Balme

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190° Prmotion - Sergent-Chef SAKO - Homologué G.4686 - Balme

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262°  Promotion - Adjudant-Chef DUCRET - Homologué G.5064 - Arthus Bertrand

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266° Promotion - Sergent-Chef CADORET - Homologué G.5097 - Arthus Bertrand

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273° Promotion - Sergent DUMONT - Homologué G.5161 - Ségalen

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Cordialement

Bonsoir à tous.

Petit complément d’information en passant :
Le Chef Cadoret est le parrain de la promo ESOA 65-66.
Ses parents étaient présents sur la place d’armes de l’EAG, lors du baptême de la promo.
Ceci dit, on peut reprendre la séance de lits en cathédrale.

Sapeur !!!